« Mon parcours démontre que l’on peut faire ses études de droit à Angoulême, s’y épanouir professionnellement et avoir des responsabilités. Il y a sur le site du centre universitaire de la Charente la même qualité d’enseignement qu’à Poitiers. Mais comme c’est plus petit, nous n’étions pas des numéros. Il y avait une vraie proximité avec les enseignants ».
« Le droit m’intéressait, je savais à quoi m’attendre. Le site d’Angoulême a été un très bon sas. Il y a un côté familial, les profs sont plus disponibles .Les amphis sont à taille humaine, il y a 150 personnes sur les bancs quand il y en a 600 ou 700 à Poitiers. Cà met le pied à l’étrier et çà évite de passer une année trop festive, c’est souvent le piège quand on arrive dans une grande université. »
Le centre universitaire de la Charente « est une excellente transition entre le lycée où l’on est très suivi et les grosses facs où on est noyé dans la masse. On avait les mêmes profs qu’à Poitiers, mais au sein d’une structure familiale. Les relations qu’on avait à la cafétéria avec les enseignants auraient été impossibles à Poitiers. A l’intercours, ils papotent avec les étudiants.
L’avantage du droit, c’est que cela ouvre beaucoup de portes, on peut travailler dans de nombreux domaines ».